华锐嘎布
地区:英国
  类型:僵尸
  时间:2025-07-16 00:09:31
剧情简介

布兰顿(希拉里•斯万克 Hilary Swank 饰)来到法奥斯城,华锐成为了当地的大众情人,华锐很受女性欢迎。然而他却有着不为人知的隐秘——俊男本是女儿身。“他”的真名叫蒂娜,一直对自己是个女性缺失认同。他喜欢成为男性,并决定来到这个陌生的城市开始新角色和新生活。布兰顿和当地女孩拉娜(科洛•塞维尼 Chloë Sevigny 饰)恋爱了,还和拉娜的前男友成为好友——尽管他们粗野、酗酒,行为暴戾,但被接纳的布兰顿却得到了认同感。生活朝着布兰顿想要的方向发展,一次交通违章却暴露了所有的秘密。布兰顿被识破女儿身,尽管拉娜原谅了她,悲剧却发生了。拉娜的前男友对布兰顿怒不可遏,将她摧毁在一场残忍的暴力事件中。

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明星主演
郑元畅
孙晓亮
欧得洋
最新评论(685+)

凤凰传奇

发表于7分钟前

回复 :描述偷走了隐藏在韩国地底下数千亿的「油」并且梦想著要逆转人生的六位盗油者,以及他们之间所上演著的狗血团队合作故事,是一部犯罪娱乐电影,而盗油这类型的犯罪也是崭新的题材,也将出现个性鲜明的人物设定,想必剧情也将对大家带来畅快感受.


杨坤

发表于3分钟前

回复 :1960年代,纽约意大利人集结的布朗克斯区。黑帮老大辛尼(查兹·帕尔明特瑞 Chazz Palminteri饰)是当地赫赫有名的帮会人物。在一宗凶杀案现场,九岁的男孩安奴(弗朗西斯·卡普拉 Francis Capra饰)目睹了这一切。为了街区的名誉,安奴拒绝供出凶手就是辛尼,此事促使他俩展开一段俨如父子般的忘年友情。然而安奴的父亲罗兰逊(罗伯特·德尼罗 Robert De Niro饰)对此却并不赞成,唯恐儿子误入歧途。八年后,十七岁的安奴(李洛·布兰卡托 Lillo Brancato饰)已经成长为一名英俊少年。辛尼的势力正在逐渐扩大,安奴对辛尼愈发崇拜,对黑帮生活也更加向往。诚实正直的罗兰逊对儿子的忧虑越来越重。由奥斯卡影帝罗伯特·德尼罗执导的电影处女作《布朗克斯的故事》,入围1993年第50届威尼斯国际电影节金狮奖。


宋佳

发表于6分钟前

回复 :Walden (Diaries, Notes & Sketches) de Jonas Mekas États-Unis, 1969, 16mm, 180’, nb et coul., vostf filmé entre 1964 et1968, monté en 1968-1969Walden est le premier des journaux de Jonas Mekas, rassemblés sous le titre générique Diaries, Notes & Sketches – le premier monté, même si Lost Lost Lost, achevé en 1976, montre la période précédente, de 1949 à 1963.« Depuis 1950, je n’ai cessé de tenir mon journal filmé. Je me promenais avec ma Bolex en réagissant à la réalité immédiate : situations, amis, New York, saisons. […] Walden contient le matériel tourné de 1964 à 1968 monté dans l’ordre chronologique. La bande-son utilise les sons enregistrés à la même époque : voix, métro, bruits de rues, un peu de Chopin (je suis un romantique) et d’autres sons, significatifs ou non. »Jonas Mekas« Je n’ai pas disposé de ces longues plages de temps nécessaires à la préparation d’un scénario, puis au tournage, puis au montage, etc. Je n’ai eu que des bribes de temps qui ne m’ont permis de tourner que des bribes de film. Toute mon œuvre personnelle est devenue comme une série de notes. Je me disais : je vais faire tout ce que je peux aujourd’hui, parce que sinon je ne trouverai pas d’autre moment libre avant des semaines. Si je peux filmer une minute, je filme une minute. Si je peux filmer dix secondes, je filme dix secondes. Je prends ce que je peux, désespérément. Mais pendant longtemps, je n’ai pas visionné ce que je filmais et emmagasinais ainsi. Je me disais que tout ce que je faisais, c’était de l’entraînement. »Jonas Mekas, 1972« Walden de Jonas Mekas s’impose, près de trente ans plus tard, comme un document cinématographique essentiel de la vie artistique new-yorkaise à l’une de ses époques les plus grandioses. Sans jamais choquer ni se confesser, Mekas a imprégné chaque instant de ce très long film des nuances de sa personnalité. Parmi un vaste éventail de personnages, pour la plupart non nommés ou simplement appelés par leur prénom – bien que certains soient mondialement célèbres –, le seul portrait psychologique est celui du cinéaste lui-même : un poète lituanien exilé, fasciné et torturé par sa lente américanisation. Le film est dominé par un rythme staccato nerveux qui s’épanche régulièrement en grandes exaltations. En accumulant massivement des images, Mekas s’est constitué des archives uniques en leur genre pour assembler ce journal visuel, le premier d’une longue série. Aucun autre film ne restitue à ce point la sensation propre à ce temps et à ce lieu, telle qu’on peut la retrouver en regardant le film aujourd’hui. En tant que personnage secondaire apparaissant régulièrement devant la caméra de mon ami, je suis conscient combien sa représentation des autres reste fragmentaire et elliptique, et cependant ces images sont devenues pour moi les indices visuels les plus forts de la personne que j’étais il y a trente ans. Ceci est peut-être la clé de l’œuvre de Mekas : sa découverte d’une forme cinématographique laissant transparaître ses changements d’humeur, sans imposer un masque cohérent de lui-même. Il a ainsi construit une oeuvre qui laisse les autres apparaître dans leur ambiguïté phénoménale. »P. Adams Sitney, 1996, Le Livre de Walden, éd. Paris Expérimental, 1997« Disons que, cinématographiquement parlant, il n’y a peut-être rien de plus beau que les trois premiers plans de Walden : des arbres dans un parc bleuté par les reflets du soleil d’hiver, la neige et l’aube du printemps ; du temps, proustien ou haché en haïku, du temps qui tient dans la main, du souvenir partout. »Philippe Azoury, « Vivace Jonas Mekas », Libération, 31 octobre 2000


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