罗马许愿池边,肥妈小女孩儿正要把一枚金币投到水池里。拉着风琴,肥妈敲着架子鼓的孤身艺人却用自己的音乐吸引了她。她崇拜的看着艺人表演,手里的金币一点点移向艺人的口袋。这时另一个以拉小提琴为主的“光杆乐队”却半路杀出,小姑娘在两个优秀的艺人前犹豫不决。两个“光杆乐队”渐渐从卖弄手艺,变成了激烈的竞争,两人都想从小姑娘手里拿到那枚金币。在混乱的争夺中,金币跌倒了下水井里,小姑娘生气的嘟起了嘴。她把手伸向一把小提琴,真正的好戏上演了......
罗马许愿池边,肥妈小女孩儿正要把一枚金币投到水池里。拉着风琴,肥妈敲着架子鼓的孤身艺人却用自己的音乐吸引了她。她崇拜的看着艺人表演,手里的金币一点点移向艺人的口袋。这时另一个以拉小提琴为主的“光杆乐队”却半路杀出,小姑娘在两个优秀的艺人前犹豫不决。两个“光杆乐队”渐渐从卖弄手艺,变成了激烈的竞争,两人都想从小姑娘手里拿到那枚金币。在混乱的争夺中,金币跌倒了下水井里,小姑娘生气的嘟起了嘴。她把手伸向一把小提琴,真正的好戏上演了......
回复 :赌神高进(周润发 饰)自从血洗江湖后,无心恋战,遂携新妻温柔(张敏 饰)隐居法国,生活平静,以画为伴。 台湾黑帮掌门人仇笑痴(吴兴国 饰)野心勃勃,要与高进一较高下,激他重出江湖,借高进会友之际带人潜入屋中将其妻其仆全部杀死。 悲痛欲绝的高进一人回大陆散心。途中偶遇台湾黑帮头目(柯受良 饰)与他女儿(邱淑贞 饰),二人结为至交却不料头目遭人暗算身亡,进碰巧救下其年幼的儿子,展开逃亡。而此时游手好闲的大陆汉(梁家辉 饰)与妹妹(吴倩莲 饰)碰巧遇上逃亡的进,而大陆公安队长(徐锦江 饰)也尾随而至,一场猫捉老鼠的游戏即将展开,而幕后操纵的仇笑痴又有什么阴谋呢……
回复 :Walden (Diaries, Notes & Sketches) de Jonas Mekas États-Unis, 1969, 16mm, 180’, nb et coul., vostf filmé entre 1964 et1968, monté en 1968-1969Walden est le premier des journaux de Jonas Mekas, rassemblés sous le titre générique Diaries, Notes & Sketches – le premier monté, même si Lost Lost Lost, achevé en 1976, montre la période précédente, de 1949 à 1963.« Depuis 1950, je n’ai cessé de tenir mon journal filmé. Je me promenais avec ma Bolex en réagissant à la réalité immédiate : situations, amis, New York, saisons. […] Walden contient le matériel tourné de 1964 à 1968 monté dans l’ordre chronologique. La bande-son utilise les sons enregistrés à la même époque : voix, métro, bruits de rues, un peu de Chopin (je suis un romantique) et d’autres sons, significatifs ou non. »Jonas Mekas« Je n’ai pas disposé de ces longues plages de temps nécessaires à la préparation d’un scénario, puis au tournage, puis au montage, etc. Je n’ai eu que des bribes de temps qui ne m’ont permis de tourner que des bribes de film. Toute mon œuvre personnelle est devenue comme une série de notes. Je me disais : je vais faire tout ce que je peux aujourd’hui, parce que sinon je ne trouverai pas d’autre moment libre avant des semaines. Si je peux filmer une minute, je filme une minute. Si je peux filmer dix secondes, je filme dix secondes. Je prends ce que je peux, désespérément. Mais pendant longtemps, je n’ai pas visionné ce que je filmais et emmagasinais ainsi. Je me disais que tout ce que je faisais, c’était de l’entraînement. »Jonas Mekas, 1972« Walden de Jonas Mekas s’impose, près de trente ans plus tard, comme un document cinématographique essentiel de la vie artistique new-yorkaise à l’une de ses époques les plus grandioses. Sans jamais choquer ni se confesser, Mekas a imprégné chaque instant de ce très long film des nuances de sa personnalité. Parmi un vaste éventail de personnages, pour la plupart non nommés ou simplement appelés par leur prénom – bien que certains soient mondialement célèbres –, le seul portrait psychologique est celui du cinéaste lui-même : un poète lituanien exilé, fasciné et torturé par sa lente américanisation. Le film est dominé par un rythme staccato nerveux qui s’épanche régulièrement en grandes exaltations. En accumulant massivement des images, Mekas s’est constitué des archives uniques en leur genre pour assembler ce journal visuel, le premier d’une longue série. Aucun autre film ne restitue à ce point la sensation propre à ce temps et à ce lieu, telle qu’on peut la retrouver en regardant le film aujourd’hui. En tant que personnage secondaire apparaissant régulièrement devant la caméra de mon ami, je suis conscient combien sa représentation des autres reste fragmentaire et elliptique, et cependant ces images sont devenues pour moi les indices visuels les plus forts de la personne que j’étais il y a trente ans. Ceci est peut-être la clé de l’œuvre de Mekas : sa découverte d’une forme cinématographique laissant transparaître ses changements d’humeur, sans imposer un masque cohérent de lui-même. Il a ainsi construit une oeuvre qui laisse les autres apparaître dans leur ambiguïté phénoménale. »P. Adams Sitney, 1996, Le Livre de Walden, éd. Paris Expérimental, 1997« Disons que, cinématographiquement parlant, il n’y a peut-être rien de plus beau que les trois premiers plans de Walden : des arbres dans un parc bleuté par les reflets du soleil d’hiver, la neige et l’aube du printemps ; du temps, proustien ou haché en haïku, du temps qui tient dans la main, du souvenir partout. »Philippe Azoury, « Vivace Jonas Mekas », Libération, 31 octobre 2000
回复 :《詹妮弗·洛佩兹:人生中场秀》贴近拍摄幕后的詹妮弗·洛佩兹,看她如何凭借韧性及决心,成就如今不凡的样貌。本片同时宣告洛佩兹的人生下半场正式揭幕,她大方公开身为拉丁裔、身为母亲、身为艺术家的成长历程,展现自己如何主宰职涯,并为更重要的理想发声。